Pour être honnête, l’Inde n’était pas dans mon top 10 des pays à visiter. Mais quand mon amie a annoncé son mariage indien de dernière minute à Bombay, j’ai su que je devais saisir cette occasion unique. Après des jours de négociations, j’ai convaincu Daniel, mon petit ami allemand, de sortir de sa zone de confort et de me rejoindre pour son premier voyage hors d’Europe !

Vous ne verrez pas de photos stylisées dans cet article, je n’ai pas eu le temps pour ça ! Notre objectif principal était d’assister au mariage de mon amie française et de son fiancé indien, mais c’est devenu un défi car nous n’avions que 10 jours pour profiter au maximum de notre voyage.

Nous étions déterminés à voir les sites touristiques et à faire l’expérience du mode de vie indien à Bombay et à Hyderabad. Je peux déjà vous dire que c’était une expérience inoubliable qui n’aurait jamais été possible sans la belle histoire d’amour et l’invitation que j’ai reçue de mes amis Tiphanie et Sanjay. D’une certaine manière, j’espère que ce billet vous montrera mon éternelle gratitude. Maintenant munissez-vous d’un thé, j’ai beaucoup de choses à vous raconter !

Premières impressions de Bombay

Ça me fait penser au Bénin. Sans blague : le temps chaud et humide, les rues agitées et les pousse-pousse jaunes m’ont tout de suite mise à l’aise. Cela dit, Bombay et Hyderabad sont parmi les villes les plus riches de l’Inde, elles sont donc assez développées par rapport au reste de l’Inde et surtout par rapport à mon pays d’origine. J’ai été agréablement surprise par l’architecture gothique victorienne de la ville, mais ai vu un contraste avec des routes en mauvais état et des bâtiments délabrés.

La circulation à Bombay est tellement intense que je n’oserais jamais y conduire une voiture moi-même. Mon sentiment était que les routes sont très fréquentées, avec des voitures, des motos, des pousse-pousse et des camions qui se battent pour avoir la priorité. En taxi, il vaut mieux avoir les nerfs solides quand on est assis sur le siège arrière. 

Les pousse-pousses étaient mon moyen de transport préféré sur de courtes distances, mais pour les prendre, il faut faire confiance au conducteur. Contrairement à Daniel, j’étais confiante dans le fait que nous resterions en vie. 

Ce qui m’a le plus frappé, c’est la culture du klaxon de Bombay. Même quand les feux sont rouges, les gens n’arrêtent pas de klaxonner. J’ai trouvé ça drôle, mais c’est un problème que la police de Bombay essaie de résoudre afin de réduire la pollution sonore.

Contrairement à Daniel qui a vécu un choc culturel, je me suis vraiment sentie bien et étais impatiente d’en voir plus. J’étais extrêmement soulagée d’arriver, après 15 heures de vol depuis Paris. Nous étions entre de bonnes mains, puisque les futurs mariés sont venus nous chercher à l’aéroport et nous ont emmené à “l’hôtel » que nous avions réservé avant notre arrivée.

Logement : d’un l’hôtel catastrophique à un Airbnb agréable

Le soi-disant « hôtel » que nous avions réservé était situé dans un quartier riche de Bombay, où vivait la famille de Sanjay. Il avait l’air décent en ligne (et hors de prix), alors imaginez notre choc lorsque nous avons découvert un bâtiment délabré et louche à notre arrivée. Par curiosité, nous sommes tout de même entrés pour jeter un coup d’œil et avons été emmenés dans un minuscule ascenseur qui nous a conduits à notre « chambre ». Un endroit humide, malodorant et sale où personne de sensé ne resterait à moins de ne pas avoir le choix.

Tout va bien. Nous n’avions pas payé d’avance et ne nous étions pas engagés à rester dans cet endroit de toute façon. Dieu merci ! Nous avons trouvé un prétexte pour revenir dans l’après-midi et sommes partis en douce avec nos bagages. Finalement, la famille du marié nous a accueillis à bras ouverts et nous a laissé nous reposer de notre voyage. Nous avons facilement et rapidement trouvé un Airbnb à proximité pour emménager le lendemain.

Airbnb a répondu à nos attentes car l’espace, la propreté des chambres et le service étaient impeccables. Contrairement à toute autre expérience d’Airbnb que j’ai eue auparavant, nous avions un « concierge ». C’était comme avoir une baby-sitter qui restait dans l’appartement 24h/24 et 7j/7 pour assurer notre confort et la sécurité des lieux. 

Pendant que nous dormions dans notre chambre, Rajendra (c’est son nom) dormait dans le salon. C’était si particulier que je me suis demandé : a-t-il une famille chez qui il va ? Que fait-il quand nous sommes dehors ? Est-ce que son travail consiste uniquement à s’occuper des touristes comme nous ? Je regrette de ne pas avoir demandé mais c’était difficile de communiquer avec lui car il ne parlait qu’hindi. Mais il était si gentil, que nous avons réservé le même Airbnb pour nos 3 premiers et 2 derniers jours à Bombay.

La cuisine indienne : épicée et généreuse

Tout le monde sait que la nourriture indienne est délicieuse. Mais je n’étais pas prête pour de la VRAIE nourriture indienne. Il est clair que les restaurants indiens en Europe se sont adaptés à nos fragiles papilles gustatives pendant tout ce temps. Je ne pouvais pas supporter le piquant et chaque bouchée de tout ce que je mangeais était vraiment trop épicée. Je me croyais immunisée pourtant, je suis africaine ! Mon copain par contre, qui est « on ne peut plus blanc » a parfaitement géré et a adoré.

La bonne nouvelle, c’est que nous pouvions demander à la plupart des restaurants et des street foods de rendre notre nourriture plus fade, mais ça n’a pas vraiment fonctionné. Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’on me serve des portions aussi généreuses lorsque je mangeais au restaurant. 

Le Paradise Biryani d’Hyderabad est célèbre pour son poulet Biryani, que j’ai absolument adoré. A Bombay, j’ai dégusté le riz au curry vert de Mirchi and Mime, un bar et restaurant où les employés sont malentendants. Ils sont très avenants et proposent même un cours accéléré de langue des signes. Cet endroit a été mon coup de cœur. Mais ma meilleure expérience culinaire a été l’Aloo Puri et le Chai de la mère de Sanjay, dont j’essaie encore de recréer le goût.  

Être un touriste en Inde : shopping et pièges à touriste

J’ai rencontré des gens accueillants et serviables, que ce soit au restaurant, à l’hôtel ou lorsque j’ai acheté ma carte SIM locale. Le seul inconvénient d’être un touriste en Inde est le risque de se faire arnaquer.

Je m’attendais à être arnaquée, mais ce cordonnier a réparé mes sandales, pour 40 INR (0,48 €).

Avant de voir ce cordonnier, j’ai consulté mes amis indiens sur le coût du service, et ils m’ont dit exactement 40 INR. Ça m’a brisé le cœur qu’il n’ait pas demandé plus, alors que j’étais un touriste. Je vous raconte ça parce que je me suis faite avoir à plusieurs reprises. Mais je n’en fais pas tout un plat et je vais vous dire pourquoi.

La première fois que j’ai repéré un vendeur d’eau de coco, je l’ai arrêté et j’en ai pris un à 100 roupies pour découvrir plus tard que j’aurais dû payer 15 roupies. J’ai donc payé environ 1,20 € au lieu de 0,18 €. Pour moi, ce n’est pas grave parce que je peux me le permettre. Ça peut paraître bête ou naïf, mais si cet argent peut aider les gens, alors ça ne me dérange pas de me faire arnaquer. Bien sûr, c’est mal de faire payer les touristes plus que les locaux et il faut faire attention aux prix que l’on paie, mais je suis partisan de ne pas réagir excessivement aux petites arnaques.

Cela dit, lorsque j’achetais des services comme des pousse-pousse ou des produits comme des souvenirs ou des vêtements, j’étais inflexible et j’utilisais toujours mes talents de négociatrice, qui, soit dit en passant, ont fonctionné presque à chaque fois. En Inde, et malgré le hochement de tête indien déroutant, vous devez systématiquement négocier. Une fois, j’ai quitté un magasin en refusant catégoriquement de payer trop cher et le propriétaire m’a couru après pour céder. La plupart du temps, les étiquettes de prix ne sont pas le prix définitif. Par ailleurs, les vraies arnaques dont il faut se méfier sont celles des mendiants et des taxis.

Assister à un mariage traditionnel indien

Je me sens très chanceuse d’avoir vécu le summum de mon voyage : un mariage indien traditionnel. Dans le cadre de la culture indienne et des traditions du mariage, l’union a été célébrée à différentes occasions. 

Le jour précédant le mariage, nous avons eu le rituel Mehndi où les proches de la mariée se préparaient et faisaient dessiner des motifs complexes au henné sur les mains et les pieds. 

Le jour du mariage, notre mariée française s’est transformée avec des ornements et des guirlandes florales dans les cheveux, des bracelets, des bijoux, un sari traditionnel sur mesure et bien sûr, du henné sur ses bras et ses pieds. 

Lors de la cérémonie d’échange d’alliances célébrée par les proches et la famille, nous avons joué à un jeu au cours duquel les familles des époux ont pris parti et se sont taquinées pour faire un pas en avant afin que les époux puissent se retrouver au milieu.  

Ensuite, nous avons eu la cérémonie traditionnelle de mariage télougou où nous avons assisté à plusieurs rituels de mariage. Je ne suis pas une experte en mariage indien, j’ai donc fait quelques recherches pour comprendre la signification de quelques rituels. 

Pour le rituel du Mangala Snanam, les mariés reçoivent un bain sacré avec de l’eau de curcuma pour nettoyer leur corps et leur esprit avant le rituel sacré de l’union. 

Le JeelaKarra Bellam : il commence par l’application d’une pâte de cumin et de jagging sur les mains du couple. Le couple place cette pâte sur la tête de l’autre, en déplaçant ses mains au-dessus du rideau. C’est à ce moment que le couple est officiellement mari et femme et que le rideau qui les sépare est alors enlevé (Terasala). La pâte de cumin et de jaggery indique que le couple va rester uni pendant les phases amère et douce de la vie. 

Pour le rituel le plus amusant du mariage indien, le Talambralu, les mariés versent du riz mélangé à du curcuma sur la tête de l’autre comme une douche. Cela est censé représenter le bonheur et la prospérité du mariage.

Nous avons également assisté au Kanyadanam, qui signifie « donner la mariée ». C’est la cérémonie au cours de laquelle la famille de la mariée donne officiellement sa main au marié.

Si vous voulez avoir des photos mémorables de votre mariage, engagez des photographes indiens ! L’atmosphère était exceptionnelle, plusieurs photographes ont été engagés pour couvrir l’événement et les époux ont été invités à poser pour des photos à de nombreuses occasions. Trop d’occasions… Je sais que vous pensez que ça n’a pas l’air spécial. Mais croyez-moi, les mariages indiens sont à un niveau supérieur sur ce point ! Je ne vais critiquer personne, j’étais moi-même un paparazzi.

Ce mariage était exceptionnellement romantique, coloré, significatif et beau. Nous avons bénéficié d’une hospitalité et d’une gentillesse de premier ordre de la part de la (grande) famille du marié, qui nous a fait sentir les bienvenus et nous a donné un sentiment d’exception. Le caractère interracial du mariage a également joué un rôle dans sa singularité, car nous avons vu les deux familles se rencontrer et surmonter leurs différences culturelles. De quoi le monde a-t-il encore besoin ? C’était tout simplement fascinant. 

Ma sécurité en tant que femme en Inde

Je n’avais aucune crainte avant de me rendre en Inde, mais je pense que Daniel est venu surtout parce qu’il s’inquiétait du fait que je sois une femme, dans un pays réputé dangereux pour les femmes. Dire que je me suis sentie en sécurité tout le temps serait mentir. Lorsque nous sommes arrivés à Hyderabad, où se déroulait le mariage, les médias ont rapporté qu’une Indienne avait été violée et brûlée à mort par un gang deux jours auparavant. Comment auriez-vous réagi à ça ?

Ça m’a rendu un peu paranoïaque parce que ça s’est passé dans la même ville et très récemment. J’étais probablement très en sécurité dans ma chambre d’hôtel, mais j’ai quand même ressenti le besoin de vérifier que la porte était bien verrouillée chaque fois que j’entrais seule. Pourtant, assurer sa sécurité est une règle de base lorsqu’on voyage. En fin de compte, rien ne m’a fait me sentir en danger ou menacée pendant tout le voyage. 

D’après ce que j’ai vu à Bombay et à Hyderabad, l’Inde semble être une société essentiellement patriarcale. Heureusement, certains hommes et garçons sont en train de désapprendre le sexisme.

Mais j’ai été très contrariée quand je suis tombée sur cette annonce. Je ne pense pas que promouvoir la « force » des hommes (surtout dans le contexte sexuel) contribuera à détruire la culture du viol. 

N’est-il pas hypocrite pour un pays à tendance conservatrice de dire aux femmes d’assurer leur propre sécurité (en faisant attention et en s’habillant d’une certaine manière) et en même temps d’encourager les hommes à gagner de la « force » » pour une vie sexuelle épanouie ?

Être une femme noire en Inde

Si vous ne le saviez pas, le racisme en Inde est une réalité. Beaucoup d’Africains qui y résident sont des étudiants qui sont stéréotypés comme des trafiquants de drogue, des voleurs et même des cannibales simplement à cause de la couleur de leur peau. Oui, c’est complètement tordu. Donc quand on est un voyageur noir, on doit faire ses devoirs et songer à la façon dont on sera traité avant d’aller quelque part.

L’Inde est célèbre pour son système de castes où le statut social définit la valeur d’un individu. Et j’ai regardé assez de films de Bollywood pour savoir que les Indiens ont un problème avec le colorisme (obsession de la peau claire). Je m’attendais donc en quelque sorte à recevoir un traitement anti-Noir avant d’y aller.

J’ai l’habitude qu’on me dévisage à chaque fois que je voyage, mais je trouve ironique que les gens qui me regardent en Inde avaient souvent la peau aussi foncée que moi ! C’est peut-être mes cheveux bouclés qui ont attiré leur attention, mais ils étaient assez curieux. Voici quelques exemples de la façon dont j’ai été traitée en tant que femme noire en Inde :

• Quelqu’un a dit que mes cheveux étaient les plus beaux qu’il ait jamais vus ! C’est toujours agréable à entendre, mais je n’ai pas eu le courage de lui dire que les Faux Locs n’étaient pas mes vrais cheveux. Si tu lis ceci, je suis désolée !
• Je prenais un Chai à Hyderabad quand un serveur a demandé à Daniel si j’étais une « Pop star » ! C’était une surprise, car il ne m’a pas demandé directement. C’est bizarre, mais j’accepte le compliment.
• Aussi cliché que cela puisse paraître, j’ai acheté du pop-corn au poulet KFC (que j’essayais pour la première fois) à l’aéroport. Je m’étais à peine assise pour en profiter, quand un Indien s’est approché et m’a demandé une photo. J’ai machinalement dit oui, pensant qu’il voulait être sur la photo avec moi. Il a ensuite pris une photo complète de moi AVEC le poulet, m’a remerciée et est parti. Tout s’est passé si vite qu’à ce jour, Daniel et moi ne comprenons toujours pas ce qui s’est passé. Il n’a pas intérêt à se vanter d’avoir surpris une fille noire typique en train de manger du poulet !

Les gens regardaient beaucoup Daniel aussi. Des écolières lui faisaient signe et lui gloussaient dessus depuis un bus. Il est très blanc après tout, alors il se distingue beaucoup. Ou bien se peut-il qu’il soit simplement beau ? Mais nan. Je dois dire que mon black Girl Magic a eu un certain effet sur quelques mecs que j’ai rencontrés. Les femmes remarquent ces choses…

Dans l’ensemble, au cours de mes dix jours de voyage en tant que femme noire en Inde, je n’ai pas vécu le racisme. Cependant, il serait peut-être utile d’ajouter que je ne me suis jamais déplacée seule, ce qui peut parfois aider.

Être un couple mixte en Inde

Parlons maintenant du fait d’être un couple mixte en Inde. Je tiens à le mentionner car j’ai l’impression qu’il n’y a pas beaucoup d’informations en ligne. Je crois qu’il y a une différence entre voyager seule en tant que femme noire et voyager avec un partenaire blanc. Il faudrait que je me rende deux fois aux mêmes endroits pour vraiment constater la différence de traitement (si elle existe).

En Inde, nous étions prudents et avons rarement fait des gestes physiques d’affection pour essayer de nous fondre dans la masse. Bien sûr, nous avons reçu de l’attention, mais nous n’avons été maltraités à aucun moment. Mes jeunes mariés n’ont rien ressenti de négatif non plus, à part la curiosité et la gentillesse.

Enfin, dans le cadre de mon expérience de femme noire en Inde, j’ai dû tirer profit de la beauté indienne. Les femmes indiennes sont célèbres pour leurs beaux cheveux longs et soyeux et leurs produits de beauté. Je ne pouvais pas quitter le pays sans m’acheter des vêtements, des bracelets et surtout des produits capillaires indiens. Des huiles, des poudres, des crèmes, tout ce que vous avez en tête, je l’ai acheté. Les produits sont moins chers qu’en Europe, quand aurais-je à nouveau cette chance ? J’ai aussi fait une pédicure et me suis fait tailler les sourcils pour une expérience complète.

Conclusion de ma première visite en Inde 

En ce qui me concerne, j’ai passé un moment merveilleux en Inde et j’en suis reconnaissante. J’aurais bien sûr souhaité qu’il y ait moins de circulation à Bombay et qu’on ait eu plus de temps pour voir les sites touristiques.

Daniel a été étonné par cette expérience en dehors de sa zone de confort et par l’amabilité et la générosité avec lesquelles il a été traité. Il a également déclaré avoir découvert une forme de « pauvreté et d’arnaques » qu’il n’avait jamais vue en Europe. Certains disent que voyager en Inde peut faire peur. Mais nous avons été à 100 % à l’aise pendant tout le voyage : émotionnellement, financièrement et physiquement !

Admettons-le, nous avons été invités à plusieurs dîners, nous avons pu manger au restaurant, faire la fête en boîte, et nous nous sommes déplacés essentiellement en avion et en Uber dans des endroits chics. Nous avons même mangé dans un endroit appelé « le club des privilégiés ». En dehors du fait de voir des mendiants sur la route, nous n’avons pas visité les quartiers pauvres ou marché dans la rue pour y rencontrer pauvreté ou saleté !

J’ai de la chance d’avoir vu ce côté de l’Inde, mais mon expérience m’a donné envie d’en voir plus. Je suis sûre que le pays a beaucoup plus à offrir et que Bombay et Hyderabad ne représentent pas le pays tout entier. La prochaine fois, peut-être que partir seule me permettra de faire un voyage plus authentique en visitant d’autres régions de l’Inde.

Maintenant, vous savez tout sur mon premier voyage en Inde. Y êtes-vous allé ou avez-vous déjà assisté à un mariage indien ? Cet article a été long, mais j’espère vraiment qu’il a été utile à quelqu’un. Prévoyez un court voyage à Bombay ? Ou  bien allez-vous assister à un mariage indien ? Dites-m’en plus !

The Author / L'Auteure

Jane

Salutations ! C’est moi qui ai créé ce blog. Au départ, je voulais juste raconter ma vie, puis à force, j’ai décidé que je voulais écrire sur mon expérience de femme, de femme noire, au travail, en voyage… pour que d’autres femmes puissent s’y identifier. J’écris pour encourager et inspirer d’autres femmes à partager les leurs.

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